L’adversité n’existe pas! C’est une situation qui nous pousse au meilleur de nous-même l’un grâce à l’autre. C’est un jeu de questions et de réponses, cherchant la meilleure réponse possible, la meilleure étant la plus instinctive, la plus naturelle. Ainsi deux combattants ne combattent pas l’un contre l’autre…ils combattent ensembles! C’est une relation gagnant-gagnant! En savoir plus…cliquer ici! Laurent foezon
Coach de gestion et coach de vie
Consultant en préparation mentale et formateur
Hypnose et PNL
Montreal, Beloeil, Longueuil, Marieville, rive-sud, international et en ligne
¨Voici l’histoire du samouraï qui vint voir le légendaire maître Miyamoto Musachi, et lui demanda de lui enseigner la véritable Voie du sabre. Ce dernier accepta. Devenu son disciple, le samouraï passait son temps, sur l’ordre du maître, à porter et couper du bois, aller chercher de l’eau à la source lointaine. Et ce, tous les jours, durant un mois, deux mois, un an, trois ans. Aujourd’hui, n’importe quel disciple se serait enfui au bout de quelques jours, quelques heures même. Le samouraï, lui, continuait, et en fait, entraînait ainsi son corps. Au bout de trois ans, il n’y tint toutefois plus, et dit à son maître : « Mais quel entraînement me faites-vous subir là? Je n’ai pas touché un sabre depuis mon arrivée ici. Je passe mon temps à couper du bois à longueur de journée et à porter de l’eau ! Quand m’initierez-vous? » « Bon, bon, répondit le maître. Je vais vous apprendre la technique, puisque vous le désirez. » Il le fit entrer dans le dojo, et, chaque jour, du matin au soir, lui ordonnait de marcher sur le bord extrême du tatami et de faire ainsi, pas à pas, sans se tromper, le tour de la salle. Donc, le disciple marcha ainsi un an le long du bord du tatami. Au bout de ce temps, il dit au maître : « Je suis un samouraï, j’ai beaucoup pratiqué l’escrime, et rencontré d’autres maîtres de kendo. Aucun ne m’a enseigné comme vous le faites. Apprenez-moi enfin, s’il vous plaît, la vraie Voie du sabre. » « Bien, dit le maître, suivez-moi. » Il l’emmena loin dans la montagne, là où se trouvait une poutre de bois traversant un ravin d’une profondeur inouïe, terrifiante. « Voilà, dit le maître, il vous faut traverser ce passage. » Le samouraï disciple n’y comprenait plus rien et, face au précipice, hésitait, ne sachant plus que faire. Tout d’un coup, ils entendirent toc-toc-toc, le bruit d’un bâton d’aveugle, derrière eux. L’aveugle, sans tenir compte de leur présence, passa à côté d’eux et traversa sans hésitation, en tapotant de son bois, la poutre qui franchissait le ravin. « Ah, pensa le samouraï, je commence à comprendre. Si l’aveugle traverse ainsi, moi-même, je dois en faire autant. » Et le maître lui dit à cet instant : « Pendant un an, tu as marché sur le bord extrême du tatami, qui est plus étroit que ce tronc d’arbre, alors, tu dois passer. »Il comprit et … traversa d’un coup le pont. Voilà, l’entraînement était complet : celui du corps pendant trois ans; celui de la concentration sur une technique (la marche) pendant un an, et celui de l’esprit face au ravin, face à la mort.
Pourquoi l’esprit est-il le plus important?
Car, en dernier ressort, il décide. Dans les arts martiaux japonais des temps anciens, un seul geste juste donnait la mort. D’où la lenteur, la concentration des mouvements avant l’attaque. Un coup, et c’est fini : un mort, parfois deux, si partaient deux coups justes. Tout se joue en un instant. Dans cet instant-là, l’esprit décide tout, technique et corps suivent. Dans tous les sports aujourd’hui existe un temps d’attente; dans les arts martiaux, il n’y a pas de temps d’attente : si l’on attend tant soit peu, on est perdu, l’adversaire en profite. L’esprit doit être sans cesse concentré sur la situation, prêt à agir ou réagir. D’où son importance primordiale.¨ Source de Zen et arts martiaux de Taisen Deshimaru.
Les arts martiaux sont une grande école de vie. Les grands enseignements, les valeurs, et les lignes de conduites transmis depuis des siècles ne servent pas juste à ce contexte martial. En fait ce qui est expérimenté au dojo, est l’apprentissage sur une échelle de temps très condensé(parfois quelques minutes) de ce que l’on vit sur une échelle très élargie…toute une vie.
Laurent Foezon
Coach de performance mentale, de gestion et coach de vie
Entrainement mental et formateur
PNL et hypnose
Montreal, Longueuil, rive-sud, interantional et en ligne
Inspirez. Expirez. Répétez la séquence en silence pendant deux minutes. Ça va mieux? Les 500 élèves de l’école secondaire Saint-Patrick tenteront de chasser le stress et l’anxiété d’ici la fin de l’année en pratiquant cet exercice simple tous les jours.
«Le stress, c’est vraiment une problématique grandissante dans nos écoles présentement. On vit dans une société de performance, et les jeunes le ressentent», soutient André Gosselin, directeur de l’école anglophone Saint-Patrick, au centre-ville de Québec.
Des jeunes en détresse, qui vont bien à l’école «et qui, tout à coup, s’écroulent», M. Gosselin en a vu défiler plusieurs dans son bureau. Les études récentes stipulent qu’entre 15 % et 20 % des jeunes du secondaire sont anxieux. Peur de décevoir, de ne pas réussir son examen, de ne pas être à la hauteur lors d’un match ou d’un spectacle: les facteurs de stress sont nombreux.
GPS pour l’être humain
C’est pourquoi M. Gosselin n’a pas hésité une seconde lorsque Marc Mignault, président fondateur de M4Édition, est venu lui présenter son «GPS pour l’être humain», soit un guide de pratiques santé. En version papier ou électronique ou sous forme d’application, le guide aide l’enseignant à préparer les jeunes à ces deux minutes où ils seront invités parfois à se remémorer un moment heureux, parfois à se concentrer sur les battements de leur coeur ou le tic-tac de l’horloge. «Chaque activité qu’on propose repose sur des bases scientifiques», dit M. Mignault, qui collabore avec des chercheurs de l’Université Laval.
«Le but, c’est de prendre le contrôle sur nous-mêmes. De réaliser qu’on n’est pas obligés d’être stressés tout le temps», a expliqué Rosalie Lapierre au micro, devant ses camarades réunis dans le gymnase pour le lancement du GPS humain…
L’école qui apprend à vivre…à bien vivre…et se commet à donner des moyens. C’est dans cette première période de la vie, une période où les êtres sont encore en entrainement, cette période me parait la plus appropriée pour se pratiquer et être mieux équipé pour rentrer dans le jeu, rentrer dans la danse…Cela commence au commencement, à la base…
Laurent Foezon
Coach de performance mental, de gestion et coach de vie
Formateur
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